aller-retour à Bordeaux qui n'aura finalement servi à rien, si ce n'est claquer la bise à Miloushka (aka Fangio), goûter ces somptueux financiers, et courir comme une dératée dans l'aéroport 10 mns après la fin de l'embarquement et avoir le plaisir d'entendre la gentille dame d'Air France dire "non ce n'est pas trop tard, dépêchez-vous".
Ca m'a empêché de pleurer comme une madeleine (madeleine / financier, vous voyez le rapport) sur cet entretien loupé.
Et merde ! Mais tant pis pour eux. Biz !
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