j'en suis ! tu la reconnais Karen ?
jeudi 25 novembre 2010
lundi 22 novembre 2010
Mexico 1 - Senlis 1
pendant que le papa des poux était au Mexique sous la chaleur équatoriale, j'en profitais pour terminer mon Senlis commencé il y a bien... ouh des mois (mais dont je suis fort contente!). Le col est une merveille, la laine toute droit venue de chez Monop et tricotée en 4.5 est toute moelleuse.
... et à son retour j'avais deux Rey Mysterio !
(les photos sont une cata, mais le soir c'est pas terrible, j'en ferai d'autres)
dimanche 21 novembre 2010
Les scéance du vendredi #6, #7 et #8
Edit de la maman des poux : avant on a bouclé notre cycle KungFu avec 'Le maître d'armes" avec Jet Li et "Tigres et Dragons" avec Chow Yun Fat.
C'est un hasard, mais ce film c'est le papa qui l'a choisi, "La gloire de mon père". Un film bucolique, Marcel Pagnol nous raconte son enfance et sa vénération pour son père. Sûr, c'est très idéaliste, il n'y a pas de méchant et il fait toujours beau et chaud. Le texte et les personnages sont drôles et touchants et on se laisse embarquer en vacances avec eux.
C'est un hasard, mais ce film c'est le papa qui l'a choisi, "La gloire de mon père". Un film bucolique, Marcel Pagnol nous raconte son enfance et sa vénération pour son père. Sûr, c'est très idéaliste, il n'y a pas de méchant et il fait toujours beau et chaud. Le texte et les personnages sont drôles et touchants et on se laisse embarquer en vacances avec eux.
L'avis de pou number one:
"J'ai adoré ce film car c'était drôle et la chasse était très bien! C'était l'histoire d'une famille qui partait pour les grandes vacances. Ils venaient de la ville et ils sont partis en montagne, un peu comme chez mamie C. J'ai bien aimé les petits garçons qui essayaient d'attraper les cigales et les papillons."L'avis de pou number two:
"J'ai bien aimé. C'était drôle quand ils étaient tous à table et qu'ils entendaient les cigales. En fait, c'était les garçons qui avaient mis des cigales dans leurs poches... Mais j'étais un peu triste quand Marcel était perdu dans la montagne. Marcel et Lili s'entendaient bien, Lili connaissait tout ce qu'il y avait dans la montagne mais il ne connaissait rien de la ville. Marcel il connaissait la ville mais pas la montagne. C'était drôle quand le petit prenait les livres mais qu'on voulait pas qu'il les prenne."dimanche 14 novembre 2010
1 écheveau, 2 possibilités
alors avec de la malabrigo worsted unie coloris "bobby blue" de chez Laines et tricot
on peut faire :
samedi 13 novembre 2010
DEFI 13 : couleurs fanées
inspiré par le tuto de cda-petites choses (modifié au niveau de l'encolure) en alpaga drops coloris sarcelle mix acheté chez Kalidou, petits boutons de bois brut trouvées au marché.
D'une douceur incroyable...
D'une douceur incroyable...
jeudi 11 novembre 2010
jeudi 4 novembre 2010
mercredi 3 novembre 2010
lecture #4
Quatrième de couverture :
« Si j’avais affaire à quelqu’un d’autre, je tournerais les talons. Je ne me faufilerais pas sous le rideau de branches de l’acacia en baissant la tête. Je ne me raccrocherais pas à son tronc rugueux de crainte de trébucher. Je n’écarterais pas le feuillage. Je n’apercevrais pas une clairière. Et je ne découvrirais pas le secret de Jasper Jones. »
Une nuit de 1965, Jasper Jones, le paria de la petite ville minière de Corrigan, le gamin à moitié aborigène, frappe à la fenêtre de Charlie Bucktin, treize ans. Il n’a confiance en personne, il a besoin d’aide, aussi Charlie accepte-t-il de le suivre jusqu’à cette jolie clairière enfouie dans le bush où l’attend une terrible découverte.
Cette nuit-là, Jasper Jones lui fait jurer de garder le silence. Mais ce secret bien trop lourd à porter pour des enfants n’est pas le seul qui lézarde la ville de Corrigan…
« Si j’avais affaire à quelqu’un d’autre, je tournerais les talons. Je ne me faufilerais pas sous le rideau de branches de l’acacia en baissant la tête. Je ne me raccrocherais pas à son tronc rugueux de crainte de trébucher. Je n’écarterais pas le feuillage. Je n’apercevrais pas une clairière. Et je ne découvrirais pas le secret de Jasper Jones. »
Une nuit de 1965, Jasper Jones, le paria de la petite ville minière de Corrigan, le gamin à moitié aborigène, frappe à la fenêtre de Charlie Bucktin, treize ans. Il n’a confiance en personne, il a besoin d’aide, aussi Charlie accepte-t-il de le suivre jusqu’à cette jolie clairière enfouie dans le bush où l’attend une terrible découverte.
Cette nuit-là, Jasper Jones lui fait jurer de garder le silence. Mais ce secret bien trop lourd à porter pour des enfants n’est pas le seul qui lézarde la ville de Corrigan…
on ne me l'avait pas recommandé et je ne connaissais pas non plus l'auteur, je l'ai choisi au hasard de mes pérégrinations virgin-iennes : Le secret de Jasper Jones de Craig Silvey.
Un roman sur l'adolescence quand on laisse partir l'enfance de façon plus ou moins brutale. Le lien qui unit Charlie à Jasper ressemble un peu à celui qui existe en Tom Sawyer et Huckelberry Finn (d'ailleurs le héros fait souvent référence à Mark Twain) fait d'escapades (ici dans le bush australien), de besoin réciproque d'amitié, de secrets.
Si l'histoire est dure et cruelle, le ton est doux, simple et réfléchi. C'est un roman sur les différences, les injustices, le mal qui peut être fait aux ado et ce dans les années 60 dans une bourgade minière d'Australie. Le personnage de Jasper est énigmatique, charismatique et pourtant si esseulé, celui de Charlie est attachant surtout dans ses numéros de duettiste avec son ami Jeffrey.
J'ai aimé l'ambiance du livre, le suspens qui est maintenu jusqu'au bout et surtout Charlie et toute sa maturation pendant ces quelques semaines, sa vision du monde qui l'entoure, le regard qu'il porte sur ses parents, sur les brimades subies par son ami Vietnamien, son goût pour les questions idiotes et ses débuts amoureux...
J'ai moins aimé le style parfois.
Donc allez-y et dites-moi ce que vous en pensez ;-)
Un roman sur l'adolescence quand on laisse partir l'enfance de façon plus ou moins brutale. Le lien qui unit Charlie à Jasper ressemble un peu à celui qui existe en Tom Sawyer et Huckelberry Finn (d'ailleurs le héros fait souvent référence à Mark Twain) fait d'escapades (ici dans le bush australien), de besoin réciproque d'amitié, de secrets.
Si l'histoire est dure et cruelle, le ton est doux, simple et réfléchi. C'est un roman sur les différences, les injustices, le mal qui peut être fait aux ado et ce dans les années 60 dans une bourgade minière d'Australie. Le personnage de Jasper est énigmatique, charismatique et pourtant si esseulé, celui de Charlie est attachant surtout dans ses numéros de duettiste avec son ami Jeffrey.
J'ai aimé l'ambiance du livre, le suspens qui est maintenu jusqu'au bout et surtout Charlie et toute sa maturation pendant ces quelques semaines, sa vision du monde qui l'entoure, le regard qu'il porte sur ses parents, sur les brimades subies par son ami Vietnamien, son goût pour les questions idiotes et ses débuts amoureux...
J'ai moins aimé le style parfois.
Donc allez-y et dites-moi ce que vous en pensez ;-)
lundi 1 novembre 2010
8 ans
là-bas, mon curieux, mon anxieux, mon sociable, mon basketteur et conteur a eu 8 ans.
on a fêté ça le 28 octobre au Zoo Marin de Guia où il a vu non seulement des dauphins, otaries et autres alligators mais surtout les oiseaux de proie qu'il adore : les faucons.
"Un anniversaire extraordinaire" comme il nous a dit !
Rodrigue qui ne tient pas en place, toujours en mouvement :
Rodrigue qui ne tient pas en place, toujours en mouvement :
Puis on a fêté ça en famille aujourd'hui à la maison
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